Quand on cherche une fin explicative au réel, on se
trompe de but, car la fin du réel importe peu, puisque le réel se trouve
en constant changement. Ce qui compte c'est de comprendre quelle forme
prend l'être pour s'adapter au changement (il ne saurait ainsi prendre une forme unidimensionnelle, mais le changement par malléabilité implique que la forme soit disjonctive, au sens où elle comprend en son sein le saut qualitatif d'un niveau à un autre).
Les bonnes intuitions du nihilisme
Il y a 6 ans
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