Aristote réduit le changement au faux : le changement intègre le néant dans l'être, alors que le faux implique la reconnaissance du néant hors de l'être. La reconnaissance du faux légitime le néant nihiliste. Le faux équivaut à l'illusion, à ceci près que l'illusion contient le prisme kantien de la représentation du sujet réduit aux sens, sens compris, quand le faux introduit la supériorité de l'intellect et légitime la démarche métaphysique.
Les bonnes intuitions du nihilisme
Il y a 6 ans
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire