dimanche 30 octobre 2016

Il n'est pas besoin de chercher à définir un début à l'être, dans une forme de régression à l'infini, car la conception d'un début et d'une fin ressortit typiquement du raisonnement interne au fini, donc à l'être. Il convient en conséquence que l'être ne soit pas causé par une cause, mais par une substance complémentaire qui fonctionne comme quelque chose qui se contracte et s'étend sans début ni fin. Autrement dit, il importe qu'il n'y ait ni début ni fin au réel, mais qu'il faille changer de conception pour mieux l'appréhender.

1 commentaire:

  1. Il serait judicieux M.Koffy Cadjehoun que vous teniez compte des references concernant la finalite de la chora non aboutit chez Platon en mesestimant le troisieme genre celui de la realite des milieux, meme derrida a effleure la solution mais sa determation pour le concept de trace et loin d'etre nul et non avenu. La troisieme determination peut aussi bien etre celle du temps. Augustin Berque et d'autres sont des referents pour vous faire renconter la pensee de Nishitani. Cordialement a vous Alain Monier

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