jeudi 5 juillet 2012

Si la quête d'éternité, d'absolu, de complétude, de perfection a toujours échoué jusque maintenant, c'est parce que le problème est mal posé (où l'on voit que Wittgenstein a posé adéquatement la question du mauvais problème tout en prenant une position qui se veut le prolongement métaphysique et qui repose sur l'erreur). L'éternité n'existe qu'en termes d'être et l'ontologie contribue à ce mythe en l'associant à l'idéalisme. Il faudrait substituer à l'éternité la pérennité, pour comprendre que le réel s'apparente à une structure non appréhendable en termes d'espace (voire de temps).

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